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Découvrez le témoignage client Elmut de Laurine Cyno, cynologiste, éducatrice et comportementaliste canine, pour les recettes Elmut.

Laurine Cyno et Nana répondent à nos questions.


Je suis Laurine Cyno, cynologiste, éducatrice et comportementaliste canine.


Nana digérait mal ses croquettes et je voulais la passer à une alimentation plus saine. Mais par manque de temps, je ne pouvais pas cuisiner pour elle. Donc, mon choix s’est porté sur Elmut.


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Regardez la vidéo entière de Laurine Cyno et Nana : https://www.youtube.com/watch?v=MA6peYQuuLU et découvrez nos autres témoignages ici

Une comportementaliste canin nous parle d'Elmut 

Protégez votre chien grâce à notre guide exhaustif des plantes toxiques. Apprenez quels végétaux éviter pour assurer la sécurité de votre compagnon.

La connaissance des plantes qui sont toxiques pour le chien est essentielle pour assurer la sécurité de nos compagnons à quatre pattes. De nombreuses plantes communes dans nos jardins et nos maisons peuvent représenter un danger sérieux pour les chiens s'ils les ingèrent, les mâchent ou même les touchent. Certaines, comme le lys ou le laurier-rose, peuvent provoquer des symptômes graves, voire mortels, allant de troubles gastro-intestinaux à des problèmes cardiaques. En apprenant à reconnaître ces plantes et en prenant des mesures pour les éviter, les propriétaires de chiens peuvent prévenir des incidents tragiques et garantir un environnement sûr pour leurs animaux. Cette vigilance contribue à la santé et au bien-être de nos fidèles amis, leur permettant de vivre pleinement et en toute sécurité.



Quelles plantes sont toxiques pour les chiens ?



Quelles sont les plantes toxiques pour le chien ? De nombreuses plantes peuvent être toxiques pour les chiens. Voici une liste de certaines plantes couramment rencontrées qui peuvent causer des problèmes si elles sont ingérées par les chiens : 



Si vous avez des plantes chez vous ou dans votre jardin, assurez-vous de faire des recherches pour confirmer leur sécurité pour les chiens. En cas d'ingestion suspectée, il est crucial de contacter immédiatement un vétérinaire ou un centre antipoison pour animaux de compagnie.



Qu'est-ce qui rend une plante toxique pour les chiens ?



Les plantes toxiques pour les chiens contiennent diverses toxines pouvant provoquer des effets néfastes, allant de légères irritations à des complications potentiellement mortelles. Voici quelques-unes des toxines les plus communes trouvées dans les plantes qui peuvent nuire aux chiens :



Alcaloïdes : Ces composés chimiques organiques, présents dans des plantes comme le laurier-rose et le jasmin, peuvent affecter le système nerveux ou cardiaque.



Glycosides cardiaques : Présents dans des plantes comme le laurier-rose et le muguet, ces toxines peuvent provoquer des arythmies cardiaques dangereuses.



Oxalates de calcium : On les retrouve dans des plantes comme le philodendron, le dieffenbachia et le caladium. Ils peuvent provoquer des irritations sévères de la bouche, de la gorge et de l'appareil digestif.



Saponines : Ces toxines se trouvent dans des plantes comme le yucca et certaines fougères. Elles peuvent provoquer des troubles gastro-intestinaux et des problèmes neurologiques.



Thiosulfate : Présent dans des plantes comme l'ail et l'oignon, il peut entraîner des problèmes sanguins comme l'anémie chez les chiens.



Cyanures : On les retrouve dans des plantes comme l'hydrangea et les noyaux de certaines fruits (comme les cerises). Les cyanures peuvent provoquer des symptômes graves, y compris des troubles respiratoires et cardiovasculaires.



Lectines : Présentes dans certaines légumineuses et graines, elles peuvent causer des troubles digestifs et autres symptômes graves.



Ce ne sont que quelques-unes des toxines que l'on trouve dans les plantes toxiques pour les chiens. Les effets de ces toxines peuvent varier selon la quantité ingérée, la taille du chien et d'autres facteurs. Par conséquent, il est crucial de connaître les plantes potentiellement dangereuses et de prendre des mesures pour protéger les chiens contre ces risques. Si vous pensez que votre chien a été empoisonné, contactez immédiatement un vétérinaire ou un centre antipoison pour animaux.

Les chiens peuvent être exposés aux plantes toxiques de plusieurs façons, ce qui peut entraîner des risques pour leur santé. Voici quelques-uns des scénarios les plus courants par lesquels les chiens peuvent entrer en contact avec des plantes toxiques :



Mâcher ou manger des plantes : Les chiens, en particulier les chiots et les jeunes chiens, explorent souvent leur environnement en mâchant ou en mangeant des objets. Si des plantes toxiques se trouvent dans leur portée, ils peuvent les ingérer par curiosité ou par ennui.



Se frotter contre des plantes toxiques : Certaines plantes peuvent libérer des substances irritantes au contact. Si un chien se frotte contre ces plantes, il peut souffrir d'irritation de la peau ou des muqueuses.



Ingestion accidentelle de parties de plantes : Les chiens peuvent ingérer des parties de plantes lors de jeux ou en chassant des insectes ou des petits animaux qui se trouvent près de plantes toxiques.



Ingestion d'eau contaminée : Si un chien boit de l'eau stagnante ou de l'eau de pluie qui a été en contact avec des plantes toxiques, il peut ingérer des substances nocives.



Via des objets contaminés : Les chiens peuvent également être exposés à des toxines de plantes en mâchant des objets qui ont été en contact avec des plantes toxiques, comme des bâtons, des jouets ou des outils de jardin.



Exposition à des produits dérivés de plantes toxiques : Certains produits, comme les huiles essentielles, les extraits de plantes ou les thés, peuvent contenir des composés toxiques pour les chiens. Leur ingestion ou leur contact avec la peau peut être dangereux.

Liste complète des plantes toxiques pour les chiens

 

Le ficus, plante toxique pour le chien, en raison des composés chimiques qu'il contient, principalement des oxalates de calcium et des enzymes protéolytiques. Ces substances peuvent provoquer des effets néfastes lorsqu'un chien mâche ou ingère des parties de la plante, ou encore lorsqu'il entre en contact avec la sève. Voici pourquoi ces composés sont dangereux pour les chiens :



Oxalates de calcium : Ces cristaux sont présents dans le latex ou la sève du ficus. Lorsqu'un chien mâche la plante ou est exposé à la sève, ces cristaux peuvent provoquer des irritations sévères des tissus. Ils peuvent causer des symptômes comme des douleurs et des irritations dans la bouche, des difficultés à avaler, des gonflements de la langue ou des lèvres, des hypersalivations, et des vomissements.



Enzymes protéolytiques : Ces enzymes, également présents dans la sève du ficus, peuvent irriter les tissus muqueux et la peau. Lorsqu'ils entrent en contact avec la bouche ou la peau des chiens, ils peuvent causer des inflammations, des rougeurs ou des irritations.



Le lys est toxique pour les chats, mais contrairement aux chats, les chiens sont généralement moins affectés par la toxicité des lys. Cependant, certaines espèces de lys, comme le lys de la paix (Spathiphyllum), le lys calla (Zantedeschia) et le lys arum (Arum), peuvent causer des irritations chez les chiens.



L'aloe vera est considéré comme toxique pour les chiens en raison de certains composés chimiques qu'il contient, notamment les anthraquinones et l'aloïne. Ces substances peuvent provoquer divers effets indésirables lorsqu'un chien ingère ou entre en contact avec l'aloe vera. Voici pourquoi l'aloe vera peut être dangereux pour les chiens :



Anthraquinones : Ces composés, présents principalement dans la partie externe de la feuille d'aloe vera (le latex ou la sève jaune), ont des propriétés laxatives. Lorsque les chiens ingèrent des parties de l'aloe vera qui contiennent des anthraquinones, ils peuvent souffrir de troubles gastro-intestinaux comme des diarrhées, des crampes abdominales, des nausées et des vomissements.



Aloïne : C'est un des principaux composés amers de l'aloe vera, et il peut également contribuer aux effets laxatifs. Les chiens exposés à l'aloïne peuvent subir des irritations du système digestif.



Bien que le gel d'aloe vera, la partie interne claire de la feuille, soit généralement moins toxique, il est toujours préférable d'éviter de l'utiliser ou de le laisser à la portée des chiens, car il pourrait être contaminé par des composés toxiques de la partie externe de la feuille.

Plantes de jardin courantes et toxiques



Le laurier, notamment le laurier-rose (Nerium oleander), est toxique pour les chiens en raison de la présence de composés appelés glycosides cardiaques, tels que l'oléandrine et la nérine. Ces substances peuvent affecter le cœur, le système nerveux et le système gastro-intestinal des chiens. L'ingestion de parties de la plante, même en petites quantités, peut provoquer des symptômes graves comme des vomissements, des diarrhées, des tremblements, des arythmies cardiaques, et dans certains cas, la mort. Les chiens peuvent également être exposés aux toxines du laurier en mâchant des bâtons ou des feuilles tombées au sol. En raison de cette toxicité élevée, il est essentiel de garder les chiens à l'écart des lauriers et de surveiller tout signe de détresse s'ils ont été en contact avec cette plante. Si vous soupçonnez une ingestion de laurier, consultez immédiatement un vétérinaire pour une intervention rapide et appropriée.

L'if, appartenant au genre Taxus, est hautement toxique pour les chiens en raison de la présence de composés appelés alcaloïdes de taxine. Ces alcaloïdes sont extrêmement puissants et peuvent provoquer des effets graves sur le système cardiovasculaire et nerveux. Les parties les plus toxiques de l'if sont les aiguilles, les graines et l'écorce, qui, si elles sont mâchées ou ingérées par un chien, peuvent causer des symptômes tels que des tremblements, des convulsions, des difficultés respiratoires, des battements cardiaques irréguliers et, dans les cas les plus graves, un arrêt cardiaque ou la mort subite. L'ingestion de quelques grammes d'if suffit à provoquer une intoxication sévère. En raison de cette toxicité extrême, il est essentiel de garder les chiens loin des ifs et d'être vigilant lorsqu'ils jouent dans des zones où ces arbres ou arbustes sont présents. Si un chien a ingéré de l'if ou présente des symptômes inhabituels, il est crucial de contacter immédiatement un vétérinaire pour des soins urgents.

Le muguet (Convallaria majalis) est toxique pour les chiens en raison de sa teneur en glycosides cardiaques, des composés qui affectent directement le fonctionnement du cœur. L'ingestion de toute partie du muguet, y compris les feuilles, les fleurs ou les baies, peut entraîner des effets dangereux chez les chiens. Les glycosides cardiaques peuvent provoquer des symptômes comme des vomissements, des diarrhées, des battements cardiaques irréguliers, des tremblements, des convulsions et, dans les cas les plus graves, un arrêt cardiaque. La toxicité du muguet est suffisamment élevée pour que même une petite quantité puisse causer des symptômes graves. Pour protéger les chiens, il est essentiel d'éviter d'avoir du muguet dans des zones accessibles aux animaux et de surveiller attentivement tout signe d'intoxication si le chien a été exposé à cette plante.

La rhubarbe est toxique pour les chiens en raison de sa teneur en oxalates de calcium et en anthraquinones, des composés qui peuvent provoquer des effets néfastes lorsqu'ils sont ingérés. Les feuilles de la rhubarbe contiennent des niveaux particulièrement élevés d'oxalates, qui, une fois consommés, peuvent former des cristaux insolubles, causant des irritations des tissus et des dommages aux reins. L'ingestion de feuilles de rhubarbe peut provoquer des symptômes comme des douleurs abdominales, des vomissements, des diarrhées, des tremblements, et, dans les cas les plus graves, des problèmes rénaux graves ou potentiellement mortels. De plus, les anthraquinones peuvent avoir un effet laxatif, ajoutant aux symptômes gastro-intestinaux. Pour ces raisons, il est essentiel de tenir la rhubarbe hors de portée des chiens et de surveiller leur comportement pour éviter qu'ils ne consomment des plantes toxiques. Si un chien montre des signes d'intoxication après avoir ingéré de la rhubarbe, il est crucial de consulter un vétérinaire sans délai pour obtenir des soins appropriés.

Pomme de terre (germes et tubercules verts)



La pomme de terre peut être toxique pour les chiens en raison de la présence de solanine et de chaconine, des composés de la famille des glyco-alcaloïdes. Ces substances sont particulièrement présentes dans les parties vertes de la plante, y compris les feuilles, les tiges et les pommes de terre crues qui ont commencé à verdir. Lorsqu'un chien ingère des pommes de terre crues ou des parties vertes de la plante, cela peut provoquer des symptômes comme des vomissements, des diarrhées, des douleurs abdominales, des convulsions, voire des troubles neurologiques. De plus, les pommes de terre crues peuvent être difficiles à digérer pour les chiens, entraînant des problèmes gastro-intestinaux. Les pommes de terre cuites, en revanche, sont généralement sans danger si elles sont servies de manière appropriée et en petites quantités. Pour éviter le risque de toxicité, il est essentiel de garder les pommes de terre crues et les parties vertes hors de portée des chiens, et de surveiller leur comportement pour prévenir toute ingestion accidentelle. Si un chien a consommé des parties toxiques de la pomme de terre, il est important de consulter un vétérinaire pour des soins immédiats.

La plante digitale, ou digitale pourpre (Digitalis purpurea), est toxique pour les chiens en raison de sa teneur en glycosides cardiaques, notamment la digitaline, la digitoxine et la gitoxine. Ces composés affectent directement le fonctionnement du cœur, rendant la plante extrêmement dangereuse pour les animaux. Lorsqu'un chien ingère des parties de la digitale, même en petites quantités, il peut développer des symptômes graves tels que des vomissements, des diarrhées, des douleurs abdominales, des arythmies cardiaques, des tremblements, des convulsions, et même la mort subite due à un arrêt cardiaque. Les glycosides cardiaques perturbent le rythme normal du cœur, ce qui peut entraîner des conséquences critiques pour la santé du chien. Pour cette raison, il est essentiel de garder les chiens à l'écart des plantes digitales et d'assurer qu'elles ne se trouvent pas dans des zones où les chiens jouent ou explorent. Si un chien ingère ou entre en contact avec la digitale, il est crucial de contacter immédiatement un vétérinaire pour obtenir des soins d'urgence.



L'aconit, également connu sous le nom d'aconit napel ou de casque-de-Jupiter (Aconitum napellus), est extrêmement toxique pour les chiens en raison de la présence d'alcaloïdes diterpénoïdes, notamment l'aconitine. Ces alcaloïdes ont des effets puissants sur le système nerveux et cardiovasculaire, rendant toute partie de la plante, y compris les racines, les feuilles, et les fleurs, dangereuse pour les chiens. L'ingestion ou même le contact avec l'aconit peut provoquer des symptômes tels que des vomissements, des diarrhées, des douleurs abdominales, des tremblements, des convulsions, des arythmies cardiaques, et des difficultés respiratoires. Dans les cas graves, ces effets peuvent entraîner un arrêt cardiaque ou respiratoire, entraînant la mort. En raison de sa toxicité élevée, l'aconit doit être évité dans les zones où les chiens pourraient avoir accès. Si vous soupçonnez que votre chien a été exposé à de l'aconit, il est crucial de consulter immédiatement un vétérinaire pour des soins d'urgence. La rapidité de l'intervention est essentielle pour minimiser les effets toxiques de cette plante dangereuse.

Symptômes d'intoxication chez les chiens



Les signes précurseurs d'une intoxication aux plantes chez le chien peuvent varier en fonction du type de plante et de la toxine qu'elle contient. Cependant, certains symptômes courants peuvent indiquer qu'un chien a été empoisonné par une plante toxique. Parmi ces signes précurseurs, on trouve :



Gastro-intestinaux : Vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, hypersalivation, ou perte d'appétit. Ces symptômes sont souvent les premiers à apparaître si un chien a ingéré une plante toxique.



Neurologiques : Tremblements, convulsions, désorientation, ou perte de coordination. Ces signes suggèrent une atteinte au système nerveux.



Respiratoires : Difficultés respiratoires, respiration rapide ou irrégulière. Cela peut indiquer une atteinte pulmonaire ou cardiaque.



Cardiovasculaires : Battements cardiaques irréguliers, rythme cardiaque ralenti ou accéléré, ou même collapsus. Ces symptômes nécessitent une attention médicale immédiate.



Dermatologiques : Rougeurs, irritations, ou gonflements sur la peau ou autour de la bouche. Cela peut indiquer un contact direct avec des parties toxiques de la plante.



Si vous remarquez un ou plusieurs de ces signes chez votre chien, il est crucial d'agir rapidement. Contactez immédiatement un vétérinaire pour obtenir des conseils et des soins appropriés. Si possible, identifiez la plante suspecte pour aider le vétérinaire à évaluer le type de toxine et à proposer un traitement approprié. La rapidité de la réponse est essentielle pour minimiser les effets néfastes de l'intoxication aux plantes chez le chien.

En cas d'ingestion d'une plante toxique par un chien, la première étape est de contacter immédiatement un vétérinaire ou un centre antipoison pour animaux de compagnie. Expliquez ce qui s'est passé, donnez des détails sur la plante impliquée si possible, et décrivez les symptômes que présente votre chien. Ne tentez pas de faire vomir le chien à moins que le vétérinaire ne vous l'ait expressément recommandé, car cela pourrait aggraver la situation. Assurez-vous que votre chien ne consomme pas davantage de la plante suspecte et éloignez tous les autres animaux de la zone. Si possible, emportez un échantillon de la plante ou prenez une photo claire pour aider le vétérinaire à identifier la toxine. Pendant que vous attendez des instructions, surveillez attentivement le chien pour détecter des signes de détresse ou des changements de comportement. Suivez les recommandations du vétérinaire à la lettre, car une intervention rapide et appropriée est cruciale pour minimiser les effets de l'empoisonnement par des plantes toxiques. 



Préventions des risques d'intoxication



Sécurisation de votre maison et jardin



Pour sécuriser votre maison et votre jardin lorsque vous avez des plantes toxiques pour les chiens, vous pouvez suivre plusieurs étapes pour réduire les risques d'exposition et garantir la sécurité de votre animal de compagnie. Voici quelques conseils utiles :



Identification des plantes toxiques : Faites une liste des plantes présentes dans votre maison et votre jardin et identifiez celles qui sont potentiellement toxiques pour les chiens. Recherchez des informations fiables pour déterminer lesquelles doivent être évitées.



Retrait des plantes toxiques : Si possible, retirez les plantes toxiques de votre maison et de votre jardin. Cela réduit le risque d'exposition pour votre chien. Remplacez-les par des plantes non toxiques adaptées aux animaux.



Barrières et clôtures : Utilisez des barrières ou des clôtures pour limiter l'accès de votre chien aux zones où se trouvent des plantes toxiques. Cela peut être particulièrement utile dans le jardin pour restreindre l'accès aux espaces dangereux.



Rangement des plantes d'intérieur : Pour les plantes toxiques à l'intérieur, placez-les sur des étagères hautes ou dans des zones inaccessibles aux chiens. Assurez-vous qu'elles ne peuvent pas être renversées ou atteintes par des sauts.



Surveillance et éducation : Surveillez attentivement votre chien, surtout lorsqu'il explore de nouvelles zones ou passe du temps à l'extérieur. Apprenez-lui des commandes de base comme "laisse" ou "non" pour éviter qu'il ne mâche des plantes dangereuses.



Enlèvement des débris végétaux : Gardez le jardin propre en enlevant les feuilles, les branches ou autres débris végétaux qui pourraient contenir des parties toxiques. Cela empêche votre chien de les mâcher ou de les ingérer.

Ressources et assistance en cas d'urgence



Centres anti-poison et contacts vétérinaires



En cas d'intoxication à une plante chez votre chien, il est crucial d'avoir accès à des ressources fiables pour obtenir de l'aide rapidement. Voici quelques numéros et adresses utiles à avoir sous la main :



Vétérinaire local : Assurez-vous d'avoir le numéro de téléphone de votre vétérinaire habituel et son adresse physique. Ils pourront vous aider en cas d'urgence.



Vétérinaire d'urgence : Identifiez un vétérinaire d'urgence dans votre région, ouvert 24h/24, et notez son numéro de téléphone et son adresse. Les urgences peuvent survenir à tout moment, il est donc important de savoir où vous rendre rapidement.



Centre antipoison pour animaux : Certains pays ont des centres spécialisés dans les empoisonnements d'animaux de compagnie. Le numéro de téléphone de ces centres peut être essentiel pour obtenir des conseils rapides et des recommandations. Aux États-Unis, le numéro de l'ASPCA Animal Poison Control Center est le 1-888-426-4435. En Europe, différents pays ont leurs propres centres antipoison pour animaux, comme le Centre National d'Informations Toxicologiques Vétérinaires (CNITV) en France. Assurez-vous de trouver le numéro approprié pour votre région.



Cliniques vétérinaires de garde : Notez le numéro de téléphone et l'adresse des cliniques vétérinaires de garde proches de chez vous. Elles peuvent fournir une assistance en dehors des heures de bureau.



Lorsque vous appelez l'un de ces services, soyez prêt à fournir des informations telles que l'âge, le poids et la race de votre chien, la plante ou la substance suspectée, et les symptômes que vous avez observés. Conserver ces numéros dans votre téléphone et afficher les adresses dans un endroit visible à la maison peut vous aider à agir rapidement en cas d'urgence.

Certaines plantes courantes peuvent être dangereuses pour les chiens, provoquant des symptômes allant de troubles gastro-intestinaux à des problèmes cardiaques graves ou même la mort. Parmi les plantes toxiques pour les chiens, on trouve le lys, le laurier-rose, le ficus, l'aconit, l'if, la dieffenbachia, le philodendron, le muguet, la rhubarbe, la digitale et le laurier. Ces plantes contiennent des toxines variées, telles que les glycosides cardiaques, les oxalates de calcium et d'autres alcaloïdes dangereux.



En cas d'intoxication chez un chien, il est essentiel d'agir rapidement : contactez un vétérinaire ou un centre antipoison pour animaux de compagnie immédiatement. Ne faites pas vomir le chien à moins que le vétérinaire ne vous le recommande. Essayez d'identifier la plante en question ou prenez une photo pour aider le vétérinaire à déterminer la toxine. Suivez les instructions du vétérinaire, qui pourrait recommander des mesures d'urgence comme l'administration de charbon activé ou un traitement clinique. Surveillez les symptômes tels que vomissements, diarrhées, convulsions, ou signes de détresse. La réactivité est clé en cas d'empoisonnement, alors gardez les coordonnées de votre vétérinaire et des services d'urgence à portée de main.

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Les plantes toxiques pour chien : la liste complète

Au cours de cet article, nous explorerons la race Golden Retriever sous toutes ses facettes : origine, caractéristiques physiques, personnalité, santé, régime alimentaire, coût, éducation et soins nécessaires. Vous découvrirez si cette race convient à votre foyer et comment en prendre soin au quotidien.

Le Golden Retriever, un chien de taille moyenne au pelage long et doré, appartient au groupe des chiens de rapport, de chasse et de recherche. Originaire d'Écosse, où il a vu le jour au XIXe siècle spécifiquement pour la récupération du gibier d'eau, il est reconnu pour son intelligence, son affection, sa loyauté et sa grande sociabilité. Il s'harmonise parfaitement avec les enfants, les autres canidés et même les félins.



Cette race se distingue dans une multitude d'activités, incluant la chasse, le sauvetage, le guidage, l'assistance et les sports canins. En plus d'être un compagnon familial exceptionnel, il adore jouer, nager et recevoir des câlins.



Originaire d'Écosse au XIXe siècle, le Golden Retriever a été développé par Sir Dudley Marjoribanks, plus connu sous le nom de Lord Tweedmouth. Il aspirait à créer une race de chien excellente pour la récupération du gibier d'eau, tels que les canards et les faisans, adaptée aux terrains marécageux et aux lacs.



Dans cette quête, Lord Tweedmouth croisa Nous, un retriever à poil jaune, avec Belle, une chienne de la désormais éteinte race Tweed Water Spaniel, qui partageait une ressemblance avec un petit épagneul d'eau, en 1868. Leur progéniture, Crocus, Ada, Primrose et Cowslip, est vue comme les premiers ancêtres du Golden Retriever.



Lord Tweedmouth ne s'est pas arrêté là; il a perfectionné la race en intégrant des lignées de setter irlandais, de chien de Saint-John voir même de Wavy Coated ainsi que de retriever à poil plat. Son objectif était de consolider des traits spécifiques : une élégante robe dorée, un poil plat ou ondulé, d'excellentes capacités de chien de chasse et de rapporteur, couplées à une intelligence et une loyauté inébranlables. 

Le Golden Retriever est un chien de taille moyenne, célèbre pour son pelage long et doré. Il appartient au groupe des chiens de rapport, de chasse et de recherche. Il se distingue par une silhouette élégante, harmonieuse et robuste, symbole de force et endurance.



La taille du Golden Retriever oscille entre 51 et 61 cm au garrot, différenciée par le sexe. Les mâles affichent généralement une taille entre 56 et 61 cm, tandis que les femelles varient entre 51 et 56 cm.



Le poids est proportionnel à la taille, allant de 24 à 34 kg. Les mâles ont un poids moyen de 28 à 34 kg, contre 24 à 28 kg pour les femelles. Il est important de noter que le Golden Retriever doit présenter une ossature solide sans être lourde, et une musculature bien développée, mais discrète.



Le pelage du Golden Retriever présente une palette de couleurs allant du blanc crème au doré foncé, couvrant toutes les nuances de l'or ainsi que de la terre de sienne. Le poil, long et frangé, peut être plat ou légèrement ondulé, mais jamais bouclé. Avec son sous poil serré, dense et imperméable, le Golden est parfaitement protégé contre le froid et l'humidité.



Un brossage hebdomadaire est nécessaire pour maintenir son pelage sans nœuds et à l'abri des parasites. Il est également recommandé de couper les poils excédentaires des pattes, des oreilles, et de la queue pour une apparence soignée. 



Particularités physiques d'un Golden Retriever



La tête du Golden Retriever, bien proportionnée et ciselée, affiche une expression qui mêle douceur et intelligence. Le crâne et le museau partagent la même longueur, avec un museau puissant, large, et profond.



Le chien possède un stop marqué, une truffe noire, des yeux marron foncé bien écartés encadrés de paupières foncées, et des oreilles de taille moyenne, pendantes et positionnées au niveau des yeux.



La queue, portée au niveau du dos sans s'enrouler, jusqu'au jarret, est garnie d'un poil fourni, lui donnant une allure de plumeau. Les pattes palmées pour la nage et un nez fin pour le suivi des pistes soulignent ses aptitudes exceptionnelles au travail.

Reconnu pour son caractère sociable, affectueux, loyal et docile, le Golden Retriever se distingue par son intelligence. Il apprend rapidement et cherche constamment à faire plaisir à son propriétaire.



Cette race est également dynamique et joueuse, exigeant une activité physique régulière et des moments privilégiés avec sa famille. Sa bienveillance naturelle le rend toutefois peu méfiant envers les inconnus, réduisant son efficacité en tant que gardien.



En raison des ces différents traits de caractère, le Golden Retriever est souvent utilisé en tant que chien guide auprès des personnes souffrant de malvoyance.



Compatibilité avec les familles et les autres animaux



Le Golden Retriever excelle en tant que chien de famille, s'harmonisant parfaitement avec les enfants et même les autres animaux domestiques, pourvu qu'il ait été bien socialisé dès le début. Il est dénué de toute aggressivité ou tendance à la dominance, préférant instaurer une ambiance de paix et d'harmonie au sein du foyer.



Apprécié également par les seniors, il se montre réconfortant et fidèle compagnon pour les personnes plus âgées.

Instincts et comportements spécifiques



Avec son instinct de rapporteur intact, le Golden Retriever adore ramener à son maître divers objets, allant des balles aux jouets. Son flair exceptionnel lui permet de retrouver des personnes ou des animaux égarés, faisant de lui un excellent participant à des activités telles que l'agility, le canicross, ou encore le flyball.



Sa sensibilité et son intelligence lui ouvrent les portes à des rôles de chien de sauvetage, de thérapie, de guidage ou d'assistance. Pour épanouir et stimuler le Golden Retriever, il est crucial de lui offrir suffisamment d'activités mentales et physiques, car il ne tolère ni l'ennui ni la solitude.



Consacrer du temps et de l'attention à cette race est essentiel pour répondre à ses besoins de dépense d'énergie et de divertissement.

Le Golden Retriever est un chien robuste avec une espérance de vie de 10 à 12 ans. Malgré cette robustesse, il est sujet à des problèmes de santé qui peuvent impacter sa qualité de vie, requérant des soins vétérinaires appropriés.



Il est crucial de s’informer sur les maladies fréquentes affectant cette race et de connaître les stratégies de prévention et de traitement. Voici ce qu’il faut savoir :



Les Golden Retrievers sont susceptibles de développer diverses maladies héréditaires ou des troubles liés à leur morphologie, tels que la dysplasie de la hanche et du coude, la sténose subaortique, les troubles oculaires, l’hypothyroïdie, l’épilepsie, et certaines formes de cancer. Ces affections peuvent causer douleur, boiterie, difficultés respiratoires, perte de vision, crises convulsives, chute de poils, troubles comportementaux ou tumeurs.



Un dépistage précoce est essentiel, tout comme le suivi régulier par un vétérinaire. Il existe des tests génétiques pour identifier le risque de certaines pathologies.



Conseils pour la prévention des maladies



Une bonne hygiène de vie et des soins appropriés sont primordiaux pour la prévention des maladies. Assurez-vous que votre Golden Retriever bénéficie d’une alimentation équilibrée, adaptée à son âge, son poids, et son niveau d'activité afin de prévenir le surpoids, les carences, ou les allergies.



Mettre à disposition une eau fraîche et propre en tout temps est essentiel, tout comme éviter les aliments toxiques tels que le chocolat, l'oignon, le raisin, ou l'avocat. Une activité physique régulière adaptée à ses capacités aide à maintenir sa musculature, ses articulations et son cœur en bonne santé, réduisant le stress et l'ennui. Le brossage quotidien du poil, le nettoyage des oreilles, le contrôle des dents, des yeux et des griffes, ainsi que le traitement contre les parasites externes et internes sont également indispensables.



Il est aussi important de suivre le calendrier de vaccination et de vermifugation et de consulter un vétérinaire dès l’apparition de symptômes inhabituels.

Une nourriture adaptée est cruciale pour la santé, le bien-être et la longévité du Golden Retriever. Ses besoins nutritionnels changent en fonction de son âge, son poids, son niveau d'activité et son état de santé.



Il est également important de bien gérer la fréquence et la quantité des repas pour éviter des problèmes de surpoids, de digestion ou de comportement. 



Diverses options sont disponibles pour l'alimentation du Golden Retriever, telles que la nourriture fraiche, less croquettes, le BARF, la ration ménagère ou une alimentation mixte. Chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients, et implique un budget spécifique. Le choix doit prioriser la qualité des aliments, la praticité pour le propriétaire et le plaisir du chien.



Assurez-vous que l'alimentation choisie répond aux besoins nutritionnels du Golden Retriever, particulièrement en protéines, vitamines, minéraux, acides gras et fibres. Il est primordial d'éviter les aliments toxiques pour le chien, tels que le chocolat, le raisin, l'oignon ou l'avocat.



Si vous avez un doute, nous vous recommandons de consulter un vétérinaire ou un nutritionniste canin pour créer un régime alimentaire spécifiquement adapté à votre chien.



La fréquence et la quantité des repas varient selon l'âge, le poids et le niveau d'activité du Golden Retriever. La norme est de lui offrir deux repas par jour, un le matin et un le soir, à des heures régulières. Il est essentiel d'éviter de le nourrir juste avant ou après un exercice physique afin de prévenir les risques de torsion de l'estomac.



De l'eau fraîche et propre doit être accessible en tout temps. 



La quantité de nourriture nécessaire dépend du type d'alimentation et de la valeur énergétique des aliments. Les portions sont à ajuster selon les recommandations un calcul des besoins caloriques du chien, basés sur son poids idéal et son activité. Avec Elmut, les recommandations vous seront directement fournis en fonction de son âge et de son poids ! 



De manière générale, un Golden Retriever adulte actif nécessite entre 1300 et 1700 calories par jour. Cette quantité devrait être réduite de 20% si le chien est stérilisé ou peu actif.



Il est aussi crucial de surveiller le poids du chien régulièrement et d'ajuster les portions en fonction de son état corporel.

Quel est le prix d'un chien Golden Retriever ?



Acquérir un Golden Retriever implique de considérer à la fois le prix d'achat et les coûts annexes tels que l'entretien, les soins vétérinaires et les assurances. 



L'entretien d'un Golden Retriever englobe son alimentation, son toilettage, ses accessoires et les activités. Le budget annuel moyen se situe entre 1000 et 1500 euros. La nourriture, représente environ 600 euros de ce budget.



Pour le toilettage, incluant brossage, lavages, et coupe des poils et des griffes, il faut compter 200 euros par an. Les accessoires essentiels comme la gamelle, le collier, la laisse et les jouets, représentent près de 100 euros annuellement.



Quant aux activités telles que les promenades et sports canins, elles nécessitent un budget d'approximativement 100 euros par an, variant suivant les préférences individuelles de chaque propriétaire et chien.



Les soins vétérinaires, bien que moins prévisibles, sont un poste de dépense crucial, avec un coût moyen annuel de 300 à 500 euros pour un Golden Retriever. Ce montant couvre les visites de routine, vaccinations, traitements antiparasitaires, et peut s'accroître drastiquement en cas de maladie ou accident.



Une assurance santé pour chien peut alléger ces coûts, remboursant tout ou une partie des dépenses. Les prix d'assurance varient largement, oscillant entre 20 et 50 euros par mois, basés sur les niveaux de couverture. Il est primordial de comparer attentivement les options et de bien comprendre les clauses avant de s'engager.

L'éducation et la formation jouent un rôle crucial dans le bien-être et le développement de votre chien. Elles instituent une relation de complicité avec votre animal, lui inculquent les règles de vie sociale, lui proposent des activités captivantes, et contribuent à la prévention des troubles comportementaux. Diverses méthodes et techniques sont à votre disposition, mais certaines règles fondamentales doivent être respectées.



Pour éduquer votre chien avec succès, adoptez une approche régulière, cohérente, patiente et positive. Il est essentiel de débuter alors qu'il est encore jeune, en lui enseignant son nom, les bases de la propreté, la marche en laisse, le rappel, les commandes « assis », « couché », « reste » et « lâche ». Privilégiez les récompenses (friandises, jouets, caresses, paroles d'encouragement) pour valoriser les comportements adéquats et négliger ou interrompre les comportements inappropriés.



Tenez compte du rythme d'apprentissage et des capacités de votre chien, sans lui imposer trop d'exigences prématurément. Apprenez à suivre son rythme d'apprentissage et adaptez-vous à lui le plus possible.



La socialisation est cruciale pour un chien confiant et ouvert. Elle commence dès les premières semaines de vie et doit se poursuivre sans cesse. Elle lui permet de se familiariser avec divers environnements, animaux, personnes et stimuli de manière positive et sécurisée, évitant ainsi le développement de craintes ou d'agressivité.



La formation avancée va au-delà, introduisant votre chien à des compétences plus élaborées ou spécialisées, telles que des tours spécifiques, des sports canins (agility, obéissance, canicross, etc.) ou encore des activités pratiques (recherche, pistage, sauvetage). C'est une excellente manière de renforcer vos liens, de stimuler mentalement et physiquement votre chien, et de lui ouvrir de nouveaux horizons. Pour y parvenir, les mêmes principes que ceux de l'éducation basique sont à appliquer, en ajustant le niveau de difficulté et en diversifiant les exercices.

Prendre soin de son chien chaque jour est vital pour sa santé physique et mentale. Cela inclut des activités telles que donner un bain, nettoyer les oreilles et les yeux, et assurer une activité physique qui répond à ses besoins spécifiques.



Si donner un bain à votre chien quotidiennement n’est pas nécessaire, le faire de manière régulière est important. La fréquence dépend du type de poil et du style de vie de l'animal. Le bain aide à éliminer les saletés, les parasites et les mauvaises odeurs, tout en prévenant les problèmes de peau. Il est important d'utiliser un shampooing spécifique au pH de la peau du chien et d'assurer un rinçage complet pour éviter toute irritation.



Le nettoyage hebdomadaire des oreilles et des yeux est également essentiel, en utilisant des produits dédiés et des compresses ou cotons doux pour éviter les infections, les inflammations et les blessures. Il est crucial d’être délicat et d’éviter d'introduire des objets dans le conduit auditif ou les yeux du chien.



Vérifiez régulièrement l’absence de corps étrangers, de rougeurs, de sécrétions ou de mauvaises odeurs, et n’hésitez pas à consulter un vétérinaire au moindre doute.



Activité physique et besoins en exercice



L'activité physique est essentielle pour le bien-être d'un Golden Retriever. Elle permet non seulement de dépenser de l'énergie et de stimuler son esprit, mais aussi de réduire le stress et d'augmenter son bien-être général.



De plus, un exercice régulier aide à prévenir l’obésité, les troubles comportementaux et certaines maladies qui peuvent affecter cette race. Les Golden Retrievers, en tant que chiens de grande taille, nécessitent un bon niveau d'exercice comparé aux races plus petites.



Il est crucial d’adapter l’intensité, la durée et la fréquence des activités physiques aux besoins spécifiques de votre Golden Retriever, tout en intégrant une variété d'activités pour le garder engagé et heureux. La marche, le jeu actif, la course, le vélo, la natation et la participation à des sports canins sont toutes des options excellentes pour maintenir votre Golden Retriever actif et en bonne santé.

Le Golden Retriever se distingue par son mélange parfait de beauté, d'intelligence, de gentillesse et de polyvalence.



Son pelage long et doré demandera votre attention régulière pour son entretien. Reconnu pour son tempérament sociable, affectueux, loyal et docile, le Golden Retriever excelle en tant que membre de la famille et se montre être le compagnon parfait, tant pour les enfants, que pour les autres animaux domestiques et les personnes âgées.



Par ailleurs, il brille dans diverses activités, qu'elles soient sportives, récréatives, ou même utiles, telles que la chasse, le sauvetage, le guidage des personnes aveugles ou l'assistance. Bien qu'il jouisse d'une santé robuste, il n'est pas à l'abri de certaines maladies spécifiques à sa race, qui requièrent prévention et soins adéquats.



Une alimentation équilibrée et adaptée, combinée à une activité physique constante et diversifiée, sont essentielles pour son bien-être. Une éducation et une socialisation précoce et positives s'avèrent également cruciales pour son développement en un chien bien équilibré, sûr de lui et obéissant.

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Golden Retriever : Caractère, santé, éducation et alimentation

Les chiens, comme leurs ancêtres les loups, ont une vue très développée dans le noir, et ils détectent même les mouvements les plus infimes. Mais leur acuité visuelle n’est pas la meilleure. Les chiens voient flou de près et de loin, voilà pourquoi ils se reposent essentiellement sur leurs autres sens. 

Quelles sont les couleurs que le chien voient ?  



Les chiens et les chats voient-ils en noir et blanc ? Les chiens ne voient pas le monde de la même manière que les humains. Contrairement aux humains, qui sont trichromates et peuvent distinguer une large gamme de couleurs grâce à trois types de cônes (pour le rouge, le vert et le bleu), les chiens sont dichromates. Cela signifie qu'ils ont seulement deux types de cônes dans leurs yeux, généralement pour le bleu et le jaune. 

En termes de ce que cela signifie pour la vision des couleurs chez les chiens, ils peuvent distinguer certaines couleurs, mais pas aussi bien que les humains. Voici ce qu'on sait : 



Bleu : Les chiens peuvent voir les nuances de bleu et de violet.



Jaune : Les chiens peuvent également distinguer le jaune et les teintes similaires.



Gris : Le gris et ses nuances sont visibles pour les chiens.

Par conséquent, les chiens ne voient pas les couleurs de la même manière que nous. Pour eux, les teintes de rouge, orange et vert peuvent apparaître comme différentes nuances de gris ou de jaune. Par exemple, une balle rouge peut sembler grisâtre ou brune pour un chien, tandis qu'une balle bleue sera distinctement bleue.



En résumé, les chiens peuvent voir le monde en bleu, jaune et gris, ce qui leur donne une vision des couleurs assez limitée par rapport aux humains.



Le chien voit-il moins bien que l'Homme ?

La vision du chien diffère de celle de l'homme à plusieurs égards, mais cela ne signifie pas nécessairement qu'elle est "moins bonne". Plutôt, les chiens ont des avantages visuels dans certains domaines et des limitations dans d'autres. Voici une comparaison des principales différences entre la vision du chien et celle de l'homme :



1. Vision des couleurs : Les chiens ont une vision des couleurs limitée par rapport aux humains. Ils sont dichromates, ce qui signifie qu'ils ont seulement deux types de cônes (bleu et jaune), tandis que les humains sont trichromates, avec trois types de cônes (rouge, vert, bleu). Cela réduit la gamme de couleurs que les chiens peuvent voir.



2. Acuité visuelle : Les chiens ont généralement une acuité visuelle inférieure à celle des humains. Là où un humain peut voir des détails avec précision, les chiens voient une image plus floue. On estime que leur acuité est d'environ 20/75 à 20/100, tandis que chez les humains avec une vision normale, elle est de 20/20.



3. Vision nocturne : Les chiens ont une meilleure vision nocturne que les humains. Ils ont une couche réfléchissante derrière la rétine appelée le tapetum lucidum, qui augmente leur capacité à voir dans des conditions de faible éclairage. Cela donne aux chiens un avantage dans l'obscurité.



4. Champ visuel : Le champ visuel des chiens est plus large que celui des humains, ce qui leur donne un avantage pour repérer des mouvements ou des menaces dans leur environnement. Les chiens ont généralement un champ visuel d'environ 240 à 250 degrés, tandis que celui des humains est d'environ 180 degrés. Ce champ visuel plus large s'explique par le positionnement des yeux des chiens, qui sont légèrement tournés vers l'extérieur par rapport aux yeux des humains. La vision binoculaire, qui est la partie du champ visuel où les yeux se chevauchent, offrant ainsi une perception de la profondeur, est d'environ 60 à 70 degrés chez les chiens, contre environ 120 degrés chez les humains. Cela signifie que les chiens ont un meilleur champ visuel périphérique mais une vision binoculaire plus limitée.



En résumé, le champ visuel des chiens leur permet de voir sur une plage plus large que les humains, ce qui est utile pour détecter des mouvements sur les côtés ou derrière eux, mais ils ont une perception de la profondeur plus réduite. Ces caractéristiques sont des adaptations évolutives qui aident les chiens à surveiller leur environnement et à réagir rapidement aux mouvements.



5. Détection des mouvements : Les chiens sont plus sensibles aux mouvements que les humains. Leur capacité à détecter des mouvements à distance ou en faible lumière est supérieure à celle des humains.



En résumé, les chiens ont des avantages et des limitations visuelles par rapport aux humains. Leur vision des couleurs et leur acuité visuelle sont moins développées, mais ils ont une meilleure vision nocturne, un champ visuel plus large et une meilleure détection des mouvements. Ainsi, il n'est pas tout à fait correct de dire que les chiens voient "moins bien" que les humains ; ils voient différemment, avec des adaptations spécifiques qui leur sont utiles dans leur environnement.

Les chiens, tout comme les humains, peuvent souffrir de divers troubles de la vision. Ces troubles peuvent être congénitaux (présents dès la naissance) ou acquis au cours de la vie du chien. Voici quelques-uns des troubles de la vision les plus courants chez les chiens :



1. Cataracte : La cataracte est une opacification du cristallin qui entraîne une vision trouble ou floue. Elle peut être congénitale ou liée à l'âge, à une blessure ou à des maladies comme le diabète. Les chiens atteints de cataracte peuvent montrer des signes de difficulté à voir, comme de l'hésitation à monter des escaliers ou à sauter.



2. Glaucome : Le glaucome est une maladie qui se caractérise par une augmentation de la pression intraoculaire, ce qui peut endommager le nerf optique et entraîner la perte de la vision. Les symptômes incluent des yeux rouges ou dilatés, des larmoiements, de la douleur oculaire ou des changements dans le comportement du chien.



3. Atrophie rétinienne progressive (ARP) : L'ARP est une dégénérescence progressive de la rétine qui conduit à la cécité. Elle peut se manifester chez les jeunes chiens (ARP précoce) ou chez les chiens plus âgés (ARP tardive). Les premiers signes incluent des difficultés à voir dans des conditions de faible lumière ou une réticence à se déplacer la nuit.



4. Dégénérescence de la rétine liée à l'âge (DMLA) : Similaire à l'ARP, cette condition affecte la rétine et entraîne une perte progressive de la vision, généralement chez les chiens plus âgés. Elle peut conduire à une vision périphérique réduite ou à la cécité totale.



5. Conjonctivite : La conjonctivite, ou inflammation de la conjonctive, peut provoquer des rougeurs, des démangeaisons et des écoulements des yeux. Elle peut être causée par des allergies, des infections, des irritations ou des traumatismes.



6. Kératite sèche (Kératoconjonctivite sèche, KCS) : La KCS est un trouble caractérisé par une production insuffisante de larmes, ce qui peut entraîner une sécheresse des yeux, des ulcères cornéens et des infections. Les chiens atteints de KCS peuvent cligner des yeux fréquemment ou avoir des écoulements épais autour des yeux.



7. Dystrophie cornéenne : Il s'agit d'un groupe de troubles affectant la cornée, entraînant une opacification ou des ulcères. Elle peut être génétique ou liée à des facteurs environnementaux, et peut entraîner des douleurs oculaires ou une vision réduite.



Si vous suspectez que votre chien souffre d'un trouble de la vision, il est essentiel de consulter un vétérinaire, de préférence un spécialiste en ophtalmologie vétérinaire. Un diagnostic précoce et un traitement approprié peuvent aider à préserver la vision du chien et à améliorer sa qualité de vie.

Les signes de perte de vision des chiens peuvent varier en fonction de la cause sous-jacente, mais certains indices généraux peuvent indiquer un problème visuel. Si votre chien commence à se cogner contre des objets ou des meubles, hésite à monter ou descendre les escaliers, ou semble désorienté dans des environnements familiers, cela pourrait être un signe de perte de vision. Des changements dans le comportement, comme une réticence à sortir dans l'obscurité ou une tendance à rester près de vous, peuvent également suggérer des problèmes de vision. De plus, des anomalies visibles aux yeux, telles que des opacités, des rougeurs, des gonflements, des écoulements ou des pupilles d'apparence anormale, peuvent indiquer un trouble oculaire. Si vous remarquez l'un de ces signes, il est crucial de consulter un vétérinaire pour un examen approfondi et un diagnostic approprié. 



La perte de vision chez le chien peut être causée par diverses conditions qui affectent les yeux ou les structures associées à la vision. Les cataractes, caractérisées par une opacification du cristallin, sont une cause fréquente de vision trouble ou de cécité chez les chiens, souvent liée à l'âge ou à des maladies comme le diabète. Le glauque, avec une pression intraoculaire élevée, peut endommager le nerf optique, entraînant une perte progressive de la vision. L'atrophie rétinienne progressive (ARP), une dégénérescence héréditaire de la rétine, conduit également à la cécité. Des traumatismes ou des infections oculaires, comme la conjonctivite sévère ou les ulcères cornéens, peuvent également causer des problèmes de vision. D'autres facteurs, comme la dégénérescence liée à l'âge ou des maladies auto-immunes, peuvent affecter la vision du chien. Si un chien présente des signes de perte de vision, une consultation vétérinaire est essentielle pour déterminer la cause sous-jacente et établir un plan de traitement approprié.

Vision d’un chien : Comment fonctionne-t-elle ?

Témoignage client Elmut : Laurine Cyno

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